Près des égouts

Polaris y sortait en courant. Attaquée par des rats. Elle percuta une jeune femme. Elle se releva prestament et aida la femme qu'elle avait bousculé.

"Il ne faut pas resté ici. Y'a des rats qui ne sont pas très content!!!"

Elle était affolée et regardait la femme puis les égouts toute les secondes. Des petits bruits s'approchaient.

"Non a part qu'ils sont enragé."

Il arrivèrent un bave mousseuse sur leurs museaux.

"Les voilà. Filons!!!"

Elle partie en courant. Et quand la femme passant hors du trou. Polaris leva ces deux bras et mit une plaque de fer devant le trou, avec difficulté et force.

"Oui mais une très faible mutante."

Souffla-t-elle dans un petit murmure. Sa peau devient pale et elle transpirait d'une sueur froide par l'effort qu'elle avait fournie.

"Et vous?"

"Ca fait longtemps que t'es dans la ville?"

Polaris s'écarta un peu en regarda la plaque bougeait par les attaques de rats qui tentaient de sortir.

Polaris souria en voyant les capacités de la jeune femme.

"Moi c'est Polaris et vous?"

Elle se dirigea vers un muret et s'assit sans quitter la femme des yeux.

Polaris réfléchit à voix haute.

"Si elle est nouvelle, elle n'était pas encore dans un groupe."

Puis en s'adressant à Aaricia.

"Juste pour savoir. T'aimes bien la liberté et utiliser tes dons ou plutôt être croulé de règles et pas utiliser tes pouvoirs?"

Elle se mettait à la tutoyé vu qu'elle avait plus confiance.

"Alors je crois que je peux t'inviter à notre base. Pour qu'on sirope un p'tit truc et qu'on fasse plus ample connaissance. T'en penses quoi?"

Un sourire d'enfant apparut sur ces lèvres.

"On nous appelle la confrérie des mauvais mutants. Bien entendus nous ne sommes pas mauvais nous avons juste un autre point de vue que les X-men. Eux ils se cachent des humains. Nous on montre qui nous sommes et ce que nous sommes."

Lança Lorna fièrement.

"Très même Magnéto est un homme qui sait mené sa troupe et qui l'a défend très bien même. Je l'ai déjà vu à l'oeuvre et il est pas comme c'est autres gars qui parlent plus au lieu d'agir."

Dit-elle avec une vraie admiration.

Le ventre de Polaris grogna. Elle fut un peu gênée puis ria.

"Qu'est-ce que tu penses d'aller manger un peu. Je commence à avoir faim."